2 Avril 2020
Je l’ai souvent dit, tout est vibratoire. Tout - la planète, les animaux, les êtres humains, les végétaux, les minéraux, les objets qui nous entourent - vibre sur une certaine fréquence. C’est même mesurable en unités Bovis.
Chez les êtres humains, le taux vibratoire - la fréquence sur laquelle nous vibrons - est une donnée particulièrement variable. Nous avons ce que l’on appelle une signature vibratoire qui est fonction de notre histoire, de nos croyances, de nos conditionnements. Quand nous libérons un conflit, elle s’élève. Mais lorsque nous entrons en résonance avec une personne ou une situation qui réveille un conflit en nous, notre fréquence va baisser et peut même le faire de manière significative. Sauf si nous nous laissons traverser, en conscience, par les émotions qui remontent alors à la surface.
Et si, comme je le disais, tout vibre, le COVID-19 lui-aussi vibre. Et il vient nous parler de la vibration des êtres humains sur terre.
Aucun virus ne peut prospérer dans un organisme s’il n’y est pas « accueilli » vibratoirement parlant.
C’est une information rassurante et c’est la raison pour laquelle aucune épidémie ne touche jamais la totalité d’une population. On nous donne actuellement quotidiennement des chiffres sur les morts et il est vrai que ce nombre en constante augmentation peut être impactant. Mais les guides nous disent qu’il nous faut rester sereins malgré tout et surtout mettre à profit cette période. Même si l'on sait qu'un virus, vibrant sur une certaine fréquence, peut trouver sa voie pour rejoindre ce qui, en nous, vibre sur la même fréquence et que cela peut nous inquiéter.
Alors, où va-t-il se loger ce virus ? Dans les poumons. Pourquoi ? Parce que nos poumons sont fragilisés par le manque d’amour dans le foyer. C'est cela qui se dit dans une maladie des poumons.
Ce dont nous avons besoin aujourd’hui, c’est de remettre de la conscience et du temps dans cet espace-là pour le recréer différemment. La maison – où siège notre foyer - est représentative de notre maison intérieure. Là où se trouvent nos profondeurs, nos mémoires, l’origine de nos conditionnements.
Est-ce un lieu à la fois paisible et joyeux, créatif et plein d’amour ? Où est-ce devenu le centre névralgique où s’exacerbent tous nos conflits intérieurs ?
Pas le temps, trop de fatigue, des préoccupations plein la tête, des énervements face au conjoint qui ne comprend pas ou aux enfants qui s’agitent trop, un manque de joie, trop peu de projets réjouissants, des envies de s’évader qui ne peuvent se réaliser, par manque de temps ou d’argent, etc. Voilà souvent ce qui règne aujourd’hui dans les foyers.
Qu’est-ce qui fragilise plus avant encore nos organismes ? Le forçage.
Nous vivons dans un système sociétal qui force la plupart d’entre nous de bien des manières. Être au taquet de la performance, donner toujours plus pour répondre aux attentes d'un milieu professionnel toujours plus exigeant, voire menaçant, vide chacun de toute substance. De plus en plus harassés, stressés, angoissés, la plupart n'ont plus vraiment le temps de souffler, sauf pendant de courtes vacances.
Ah, j’ai dit « souffler » ? Eh oui, beaucoup n’arrivent plus ni à souffler, ni à respirer à pleins poumons. La vie ne se respire plus que par à-coups. Certains vivent même en apnée. Bref, tout le monde s’essouffle ...
Nous savons que nous absorbons une nourriture qui a été elle aussi forcée de bien des manières pour être plus « performante », du point de vue de certains. Elle pousse sur des terres qui elles aussi ont été forcée, maltraitée, appauvrie. Les animaux qui sont destinés à notre consommations sont littéralement martyrisés. Tout vibre, disions-nous ? Alors, que vibre toute cette nourriture ? Le manque d’amour de l’humain vis-à-vis de sa terre, des légumes qu’il produit, des animaux qu’il élève. Cela impacte-t-il notre fréquence ? Evidemment. Cela vient encore renforcer notre propre manque d’amour.
Pourquoi les enfants sont-ils, en grande majorité épargnés par cette maladie ? Parce qu’ils vibrent encore suffisamment haut. Même si l’école est un autre système qui, par souci d'uniformisation, ne respecte pas les rythmes de chacun, les appétences, les goûts des enfants pour telle ou telle matière. Freinet, Montessori, Steiner, ont démontré au début du siècle dernier combien il était important de remettre l’enfant, ses goûts et ses capacités au cœur du système. Mais c’est resté lettre morte … Un siècle plus tard, on en est encore à faire des petits tests timides dans des écoles pilotes, qui tous disent pourtant combien cela change la vie des enfants mais aussi celle des enseignants.
Qu’est-ce qui élève et stabilise notre fréquence vibratoire ?
La clé d’une signature vibratoire haute et stable, c’est l’amour !
Pour retrouver une vibration haute et forte, il s’agit de faire de la place, de libérer l’ancien pour que de la nouveauté puisse s’installer, que ce soit au niveau psychique, énergétique ou très concrètement dans notre quotidien. Il s’agit de remettre de la conscience dans tout.
Notre alimentation : cela peut signifier que, si j’écoute mon corps et non les diktats extérieurs, eh bien aujourd’hui, je vais choisir de manger de la viande (si possible bio pour que l'animal ait bien vécu) ou qu’au contraire ce sera menu végan au programme,
Notre manière de bouger : faire de l’exercice c’est bien mais cet exercice doit être respectueux de mon corps, l’amener à plus de fluidité, à prendre conscience du mouvement de la Vie - du souffle de la Vie - en lui, et non être un rite guerrier qui va le distordre et le contraindre à s’adapter « rapidement, si possible » à une certaine vision de la perfection.
Notre sommeil : mes besoins ne sont pas les mêmes que ceux des autres parce que je suis unique en mon genre. J’écoute mon corps.
Nos activités : je peux choisir d’amener plus de paix en moi en méditant, en respirant en conscience, en faisant des promenades en nature, en étant créatif (dessin, modelage, cuisine, bricolage, etc)
Nos choix : je peux choisir de ne plus consentir à ce qui ne m’élève pas (relations, situations, pensées, croyances, distractions visuelles - télé, écrans, etc). Si je reprends le pouvoir sur mes pensées, que je ne les laisse plus divaguer vers la peur, je me libère de la trop grande densité, de la lourdeur qui s’en étaient emparés.
Et puis, il y a une hygiène à avoir, comme de :
Se laisser traverser par les émotions qui remontent à la conscience, grâce à une situation (qui peut être difficile à vivre mais dont le but est d'éveiller, de réveiller), sans jugement, sans censure.
Accueillir qui nous sommes pleinement, nos parts d’ombres, nos parts lumière, avec amour : plus je m’accorde d’être cet être duel que je suis, plus je reviens à l’unité.
Se recentrer à chaque fois que nous nous apercevons que nous sommes en vrac, éparpillés : en faisant la petite méditation d’ancrage que j’ai mise sur mon blog récemment, par exemple, ou tout autre exercice d’ancrage qui vous va bien.
Se connecter (pas à la 5G, non !) à cette dimension de nous, plus élevée, que, somme toute, nous connaissons encore peu : ainsi, progressivement, je me détache de la personnalité – égo – mental pour entrer dans ma multidimensionnalité.
Dans ce moment particulier que nous vivons, cessons de nous agiter, prenons le temps de réfléchir à ce qui, en nous, à permis que se mette en place cette société de contraintes et d’aberrations en tous genres, décidons d'être un observateur éclairé de ce qui se vit, décidons des changements que nous souhaitons mettre en place dans nos vies et remettons de l'amour là où c'est nécessaire.
C'est cela qui changera progressivement notre fréquence.
C'est ainsi que l'on participe activement à un changement collectif et planétaire.