Ce que j'ai pu retrouver comme informations au sujet de notre grand voyage d'âme,
Ce que les guides m'ont confié,
Ce qui a fait grandir l'amour en moi, l'amour de moi, de l'autre, de la Terre et de l'Univers,
Et mon envie de continuer à contribuer... D'une manière un peu nouvelle.
Comment venons-nous au monde ? La famille dans laquelle nous nous sommes incarnés, est-elle le fruit d'un pur hasard ? Voilà ce dont j'avais envie de vous parler dans ce podcast.
Les guides avaient dit, lors du premier confinement, que la plupart d’entre nous n’avaient rien à craindre. C’est toujours le cas aujourd’hui. Pour autant, ce qui se passe a de quoi chambouler. Mais les temps qui viennent seront d’autant moins faciles à vivre si nous nous mettons en mode résistance.
Nous vivons une époque particulière. Après avoir nié la mort pendant très longtemps, elle s'invite partout aujourd'hui dans une atmosphère qui est délétère. Alors, réinscrivons-nous dans ce grand processus global qu’est la vie avec un grand V, dont la mort du corps physique fait partie, mais qui n’est qu’un point parmi bien d’autres dans ce processus. La conscience que nous sommes ne s’arrête pas avec la mort du corps physique. Elle continue d’exister, elle continue d’évoluer aussi, après notre départ de cette Terre.
Nous sommes très soutenus par les anges et nos guides. Nous avons des guides qui nous accompagnent depuis fort longtemps, qui nous connaissent bien. Et puis il y a toutes sortes d’autres guides, y compris les maitres ascensionnés qui sont là pour nous soutenir eux aussi. Leur objectif ? Nous guider, nous apporter des réponses, certes, mais aussi nous transmettre au passage cette énergie faite d’amour, de paix, de joie qu’ils vibrent. Que nous puissions la goûter à nouveau. Nous y reconnecter. Et c’est cela qui va nous aider à progressivement changer nos conditionnements, nos croyances et vivre une vie plus joyeuse, plus harmonieuse. Nous aimer plus aussi.
Et si nos "mauvais choix", c'était simplement notre âme qui souhaitait attirer notre attention sur ce qui vibre sur le mode de la peur en nous ? Pour le transformer et vibrer ensuite sur la fréquence amour ?
Il y a en chacun de nous une aspiration ardente à rayonner notre Lumière, à vivre notre véritable nature. Plus nous cheminons en conscience, plus nous libérons ce qui, en nous, s'y oppose. C'est ainsi que nous pouvons nous établir dans un état fait de toujours plus de paix, de joie et d'amour.
Parce qu'elles sont claires et alignées sur l'amour, nos demandes à l'univers deviennent puissantes et il y répond avec la même puissance. Ses réponses arrivent alors comme des miracles.
Si nous nous posons ces questions-là, c'est que nous sommes dans une phase d'éveil à une nouvelle conscience, celle de ce que nous sommes véritablement. Notre âme nous pousse à nous souvenir. Dans le cheminement que cela représente, nous allons devoir nous laisser façonner, nous abandonner à l'expérience d'émergence de ce Dieu rayonnant que nous sommes, laisser la Source en nous prendre les commandes. Et au final, il me semble que c’est cela le plus difficile. Parce que nous sommes tellement habitués à être dans le contrôle de tout, que décrocher et se laisser faire n’est pas l’évidence. Heureusement, ce n'est pas insoluble !
Quand nous nous mettons à ressentir un vide intérieur ou une douleur sourde, où cela se passe-t-il ? Dans notre corps. Par où l’information passe-t-elle ? Par nos émotions. Et ces émotions, nous les ressentons dans notre corps. C'est très physique. Que fait notre mental ? Il nous assaille encore et encore de pensées, de questions, autour de ce vide, de ce manque, de cette douleur. Le corps, les émotions, le mental sont des supports importants pour nous indiquer que quelque chose ne va pas, dans notre façon d'être et de mener notre vie. Ils nous signalent, par le chaos ou les contractions qu'ils engendrent, qu'il devient urgent de nous mettre à leur écoute.
Se laisser rêver, c'est retrouver tout un potentiel de création dans la matière. C'est aussi retrouver le chemin de la guidance de notre âme, de notre être supérieur. Et se permettre de se reconnecter à ses potentiels pour, si l'on veut bien suivre la voie indiquée, les faire vivre dans la matière.
Il existe une autre voie que celle de l'éternelle souffrance. C'est celle de la douceur. Il est possible de vivre les événements qui se succèdent dans notre vie autrement. Accueillir que cela soit, avec toute la douceur possible, permet de faire grandir la paix en soi, développe la relation à son Soi Divin et nous ouvre à des plans de conscience de plus en plus vastes.
Pour ancrer l'amour dans notre vie, il s'agit de faire grandir notre foi et notre confiance pour savoir ouvrir véritablement les vannes de notre cœur. La Vie nous invite à cesser de nous sentir séparés d’avec l’Amour, la Source, notre âme, notre vraie nature.
Pourquoi les challenges nous font-ils si peur ? Comment les aborder pour rester dans le flux de la vie ? Quelle nouvelle vision adopter, pour expérimenter la vie du point de vue de l'amour.
Le cercle de Lumière auquel je fais référence dans ce podcast est disponible sur mon blog en cliquant ici : Messages canalisés en cercle - soins collectifs
Pour accéder progressivement à une véritable paix intérieure, il faut s’accorder de ne pas savoir être en paix avec les situations émotionnellement exigeantes que nous pouvons être amené.e.s à vivre. Le lâcher-prise peut-être envisagé comme un processus, qui va être plus ou moins rapide en fonction des moments et des situations, comme une forme d’apprentissage qui va nous mener petit à petit vers un état d’être plus paisible.
Quand on revient en incarnation avec une forte sensibilité, il peut y avoir eu, par nécessité, une forme d’oubli de soi qui s’est installée chez l'enfant que l'on a été. Le sentiment aussi, peut-être, d'être inapte à vivre dans ce monde. Et pourtant, cet.te enfant était doté de "super-pouvoirs" ! Revisiter son enfance peut permettre de renouer avec lui/elle et avec sa propre puissance intérieure.
Lâcher prise, sortir du jeu du bourreau et de la victime, guérir. Travailler avec le Divin et revenir à l'amour. Voilà l'enjeu du pardon. Il est essentiel sur notre chemin. Et cela commence par soi, comme toujours. Parce que celui ou celle à qui l'on a le plus de mal à pardonner, c'est soi.
À quel moment a-t-on appris ce qu’est le respect de soi, la tolérance, l’empathie ? Savons-nous nous accorder cette infinie bienveillance qui fait que l’on ne se jugerait pas dans l’erreur, l’échec ? Savons-nous suivre une impulsion intérieure, celle de notre âme, du Divin en nous, qui nous demande d’aller vers la joie ? Savons-nous être dans le lâcher prise nécessaire, et ne pas avoir d’autre considération que celle de cultiver un certain état d’être, fait de tranquillité et de joie ?
Avec les nombreux bouleversements sociétaux que nous vivons, nous nous doutons bien qu’un changement de paradigme est en cours. Il devient alors absolument nécessaire de changer notre façon de penser ce monde et de reprendre notre responsabilité par rapport à tout ce que nous vivons. Je vous offre, dans ce podcast, ma vision sur les maladies et la façon dont j’ai moi-même repris ma responsabilité au sujet de ma santé. Redevenons souverains à ce niveau-là également.